Le maestro italien a débuté comme dessinateur et caricaturiste. Son cinéma en a découlé pour une bonne part, comme abondent les références à l’Art dans son univers cinématographique. Il a souvent puisé à des artistes, l’univers de Jérôme Bosch par exemple, mais aussi à ses amis, comme Roland Topor qui crée pour lui les dessins de la lanterna magique de Casanova. Pour expliquer la structure de La Dolce vita, il citera volontiers Pablo Picasso avec qui il entretient des affinités artistiques et la place prépondérante du rêve dans leur œuvre.
Par Vincent Jourdan
Auteur et conférencier, enseignant en milieu scolaire et universitaire, cinéphile passionné et président de l’association Regard Indépendant, il anime depuis six ans l’atelier cinéma de Cannes Université. Il a publié plusieurs ouvrages, dont “Voyage dans le cinéma de Sergio Corbucci” (Lettmotif, 2018) et “Sergio Sollima, le cinéma au couteau” (Rififi, 2024).
LIEU
Palais de l’Agriculture
113 Promenade des Anglais, 06000 Nice
ACCÈS
Tram : arrêt Magnan/ Bus ligne 6, 12, 32, 62, 87 – Arrêt Magnan/ Parking public Magnan
Ligne 2
INTERVENANT
Vincent Jourdan