Vu pas Vu vous propose une nouvelle activité – un salon de lecture intitulé « Lu pas lu »
Chaque participant aura l’occasion de présenter son livre favori en lisant un extrait et en partageant ses qualités. C’est un moment qui se veut convivial, où l’on échange autour d’une table, sirotant une boisson, et où l’on découvre de nouveaux auteurs et univers. On se réjouit déjà de vous écouter !
Outre un livre, la lecture partagée peut être une poésie, voire un article de journal. Bien entendu, l’animatrice voire un membre de l’équipe Vu pas vu pourra proposer sa propre suggestion de lecture. Les sujets des textes sont libres, en rapport ou non avec l’art et l’esthétique.
Lorsqu'elle s'est progressivement installée comme un régime politique durable, la République a engendré tout un ensemble d'œuvres d'art officielles afin de se mettre en scène. Les formes sont nombreuses et variées (tableaux officiels, statues, architecture, bustes de Marianne, etc...), il en sera question lors de cette conférence qui s'attachera aussi à présenter certains artistes qui, à travers leurs œuvres, ont défendu la République lorsqu'elle a été menacée.
La nature, un modèle à suivre?
Nos valeurs sont-elles à chercher dans la nature ou au-delà ? D’où viennent-elles vraiment ? Leur universalité présumée est-elle une illusion ? N'est-il pas dans la nature des êtres humains d’échapper à leur nature ? C’est ce que nous examinerons en interrogeant la physique et la morale des Anciens et des Modernes.
Au cours des années d'après Première Guerre mondiale, deux mouvements, l'un politique, l'autre artistique et littéraire sont dans l'air du temps pour tenter de bousculer l'ordre politique et culturel. D'un côté le Parti communiste qui a vu le jour officiellement en 1920 et de l'autre le Mouvement surréaliste directement issu de l'après-guerre. Cette conférence reviendra sur les liens tumultueux qui se sont noués entre ces deux mouvements avec ses hauts et ses bas, suscitant une forme de passion de l'opinion française.
En 2024, le musée Guimet célèbre la Chine à l’occasion de l’Année franco-chinoise du tourisme culturel et du 60ème anniversaire des relations diplomatiques entre les deux pays.
À l’occasion d’une coopération exceptionnelle avec le musée Qujiang de Xi’an, le musée Guimet présente un ensemble exceptionnel d’objets en or, réunissant parures, bijoux et objets décoratifs, gravés, filigranés, damasquinés ou incrustés de jade ou de pierres précieuses.
En 2024, le musée Guimet célèbre la Chine à l’occasion de l’Année franco-chinoise du tourisme culturel et du 60ème anniversaire des relations diplomatiques entre les deux pays.
À l’occasion d’une coopération exceptionnelle avec le musée Qujiang de Xi’an, le musée Guimet présente un ensemble exceptionnel d’objets en or, réunissant parures, bijoux et objets décoratifs, gravés, filigranés, damasquinés ou incrustés de jade ou de pierres précieuses.
Comme le démontre le cinéaste John Ford au tout jeune Steven Spielberg dans The Fablemans, la peinture est un élément clef de la cinématographie. Les peintres du XIXeme, Frédéric Remington, Charles Russel et George Catlin, spécialiste des amérindiens, ont inspiré le western à l'écran par leur étude du mouvement et des couleurs.
Les Galeries de l'Académie furent instituées par décret napoléonien en 1807, comme complément didactique de l'Académie des Beaux-arts. L’ensemble qui les abrite est formé de l'ancienne église de Santa Maria della Carità, de la Scuola Grande della Carità et du couvent des Canonici lateranensi dessiné par Andrea Palladio en 1561. Les collections sont constituées des travaux des académiciens, mais aussi d'œuvres provenant de la suppression des congrégations religieuses et associations civiles, ainsi que de précieux legs d’illustres collectionneurs vénitiens (Molin 1816 ; Contarini 1838 ; Renier 1850) et d’importants achats effectués par l'Etat italien après 1878, dont le plus important fut celui de la célèbre Tempesta de Giorgione.
Venez célébrer les fêtes de fin d'année dans une ambiance napolitaine avec l'équipe Vu pas Vu le dimanche 15 novembre au Palais de l'Agriculture !
Les Galeries de l'Académie furent instituées par décret napoléonien en 1807, comme complément didactique de l'Académie des Beaux-arts. L’ensemble qui les abrite est formé de l'ancienne église de Santa Maria della Carità, de la Scuola Grande della Carità et du couvent des Canonici lateranensi dessiné par Andrea Palladio en 1561. Les collections sont constituées des travaux des académiciens, mais aussi d'œuvres provenant de la suppression des congrégations religieuses et associations civiles, ainsi que de précieux legs d’illustres collectionneurs vénitiens (Molin 1816 ; Contarini 1838 ; Renier 1850) et d’importants achats effectués par l'Etat italien après 1878, dont le plus important fut celui de la célèbre Tempesta de Giorgione.
Cette conférence vous entraîne dans les coulisses d'une exposition qui s'est tenue à Munich sur ce que les autorités nazie nommaient "l'art dégénéré", s'en prenant à ces artistes d'avant garde qui vont se retrouver cloués au pilori au prétexte que leur création est inacceptable et témoigne d'une décadence de leur esprit.
Nous aborderons la manière dont cette exposition s'est organisée mais aussi sont succès dans une Allemagne largement favorable à Adolf Hitler.
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